📄 Navigation

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62

Archives du Semenoir de Maryse Hache

📄 Page 32 sur 62 (entrées 1551 à 1600 sur 3059)

mercredi 21 sep 2011

je forme des hypothèses

 

 

elle quittera peut-être précipitamment la place pfft dans un souffle léger de draps mais seront-ils coton lin ou métis seront-ils chiffrés hc ou ml seront-ils en faux linge jaune à une petite rayure

 

je forme des hypothèses

 

 

DSCN0811

 

 

mercredi 21 sep 2011

 

 

elle quittera peut-être précipitamment la place pfft dans un souffle léger de draps mais seront-ils coton lin ou métis seront-ils chiffrés hc ou ml seront-ils en faux linge jaune à une petite rayure

 

je forme des hypothèses

 

 

DSCN0811

 

 

mercredi 21 sep 2011

mercredi 21 sep 2011

l'autobus 62 /rebond à candice n'guyen @theoneshotmi

 

aujourd'hui sur twitter je lis ces deux twits de candice n'guyen :

 

twitter 15/09/2011 10:41

@theoneshotmi

Retombe par hasard sur échanges entre @Marysehache et moi et en suis encore toute émue. Hanoi les petites boites en bois trésors rencontres.

 

twitter 15/09/2011 10:57

@theoneshotmi

Puis ma réponse à @Marysehache parce que tte émue toujours http://j.mp/dhzfmf Terre rouge brume flancs des montagnes caféiers théiers napalm

 

 

hier je lisais chez elle, dans son blog the one shot mi, cette page et je préparais rebond quand ces j'ai lu les twits rapportés ci-dessus

 

 

cette coïncidence me touche et me plaît

quelque chose continue de se tisser entre nous, à la fois sue et insue

 

 

 

voici mon texte de rebond

 

 

 

 

paris le 62 alésia hôpital boucicaut / hôpital boucicaut alésia

remonter le fil des rues brézin mouton-duvernet ernest-cresson daguerre 

au présent recomposé via te lire ça me shot sortir de chez mes parents rue brézin, emprunter l'avenue du gal leclerc - noël ou mai? - traverser avenue du maine et attendre le 62 au bout de la rue d'alésia et là, dans le bus bondé

 

soudain au travers de la vitre en buée d'hiver - alors bientôt noël - elle la voit

l'une descendait bientôt du bus, et l'autre, qui l'attendait, prenait sa main pour dire bonjour

elles allaient marchant vers la rue daguerre - elles parlaient d'hanoï, des petites boîtes à souvenirs, d'hélène baky, des glaneurs et de la glaneuse, elles épuisaient le temps au café, elles faisaient détour par le petit square de la mairie, elles évoquaient ancêtres, voyages, projets et rêveries, vase en cristal de bohême rouge grenat que l'une avait trouvé dans la maison de ses aïeux, textes qu'elles versaient dans le temps 

quelquefois elles allaient jusqu'au lion de belfort, place denfert-rochereau, puis boulevard saint-jacques sous les allées de marronniers - quelle beauté ces grappes blanches - tiens, déja mai - traversaient rue de la tombe-issoire, le métro devenait aérien, pousuivaient leur promenade, regardaient encore une fois dans la vitrine les petites figurines en bois chez le marchand de jouets, et ...c'était bien la rue glaciére, non ? - leur bavardage audible alors s'arrêtait

chacune accostait ses "zones de turbulence" muettes : elles avaient aperçu au bout de cette rue glaciére, l'entrée de l'hôpital sainte-anne, et le petit troupeau des peurs faisait en elles leur chemin

 

la mémoire jouait à saute-moutons 

 

attendre le 62 station alésia dans le présent recomposé - le voilà, bondé, en buée - c'est décembre, bientôt noël, et comme tous les matins de semaine, je monte dans le bus pour aller à l'école, je descendrai à la station hôpital boucicaut, quelques pas rue de la convention, tourner rue de lourmel et droit sur l'école, direction futur, vers candice

 

 

 

jeudi 15 sep 2011

 

aujourd'hui sur twitter je lis ces deux twits de candice n'guyen :

 

twitter 15/09/2011 10:41

@theoneshotmi

Retombe par hasard sur échanges entre @Marysehache et moi et en suis encore toute émue. Hanoi les petites boites en bois trésors rencontres.

 

twitter 15/09/2011 10:57

@theoneshotmi

Puis ma réponse à @Marysehache parce que tte émue toujours http://j.mp/dhzfmf Terre rouge brume flancs des montagnes caféiers théiers napalm

 

 

hier je lisais chez elle, dans son blog the one shot mi, cette page et je préparais rebond quand ces j'ai lu les twits rapportés ci-dessus

 

 

cette coïncidence me touche et me plaît

quelque chose continue de se tisser entre nous, à la fois sue et insue

 

 

 

voici mon texte de rebond

 

 

 

 

paris le 62 alésia hôpital boucicaut / hôpital boucicaut alésia

remonter le fil des rues brézin mouton-duvernet ernest-cresson daguerre 

au présent recomposé via te lire ça me shot sortir de chez mes parents rue brézin, emprunter l'avenue du gal leclerc - noël ou mai? - traverser avenue du maine et attendre le 62 au bout de la rue d'alésia et là, dans le bus bondé

 

soudain au travers de la vitre en buée d'hiver - alors bientôt noël - elle la voit

l'une descendait bientôt du bus, et l'autre, qui l'attendait, prenait sa main pour dire bonjour

elles allaient marchant vers la rue daguerre - elles parlaient d'hanoï, des petites boîtes à souvenirs, d'hélène baky, des glaneurs et de la glaneuse, elles épuisaient le temps au café, elles faisaient détour par le petit square de la mairie, elles évoquaient ancêtres, voyages, projets et rêveries, vase en cristal de bohême rouge grenat que l'une avait trouvé dans la maison de ses aïeux, textes qu'elles versaient dans le temps 

quelquefois elles allaient jusqu'au lion de belfort, place denfert-rochereau, puis boulevard saint-jacques sous les allées de marronniers - quelle beauté ces grappes blanches - tiens, déja mai - traversaient rue de la tombe-issoire, le métro devenait aérien, pousuivaient leur promenade, regardaient encore une fois dans la vitrine les petites figurines en bois chez le marchand de jouets, et ...c'était bien la rue glaciére, non ? - leur bavardage audible alors s'arrêtait

chacune accostait ses "zones de turbulence" muettes : elles avaient aperçu au bout de cette rue glaciére, l'entrée de l'hôpital sainte-anne, et le petit troupeau des peurs faisait en elles leur chemin

 

la mémoire jouait à saute-moutons 

 

attendre le 62 station alésia dans le présent recomposé - le voilà, bondé, en buée - c'est décembre, bientôt noël, et comme tous les matins de semaine, je monte dans le bus pour aller à l'école, je descendrai à la station hôpital boucicaut, quelques pas rue de la convention, tourner rue de lourmel et droit sur l'école, direction futur, vers candice

 

 

 

jeudi 15 sep 2011

jeudi 15 sep 2011

il est le cinquante millième corps

 

 

il est le cinquante millième corps frêle à entrer à Żagań

il est le corps frêle que je fictionne être mon père kriegsgefang à Żagań

bientôt casseur de cailloux

 

       à 10.00 km de ses joues à elle

       à 10.000 km de ses bras en corbeille

       à 10.000 km de geneviève sa belle fiancée

 

il est revenu de Żagań

 

il est disparu depuis

absent à nous autres qui demeurons

encore un temps

 

 

 

jusqu'à mon tour d'entrer corps frêle dans l'absence

il est celui qui entre dans le poème

sans cesse recommencé

 

 

 

dimanche 11 sep 2011

 

 

il est le cinquante millième corps frêle à entrer à Żagań

il est le corps frêle que je fictionne être mon père kriegsgefang à Żagań

bientôt casseur de cailloux

 

       à 10.00 km de ses joues à elle

       à 10.000 km de ses bras en corbeille

       à 10.000 km de geneviève sa belle fiancée

 

il est revenu de Żagań

 

il est disparu depuis

absent à nous autres qui demeurons

encore un temps

 

 

 

jusqu'à mon tour d'entrer corps frêle dans l'absence

il est celui qui entre dans le poème

sans cesse recommencé

 

 

 

dimanche 11 sep 2011

dimanche 11 sep 2011

jouer avec les hirondelles / rebond avec françoise morvan sur armand robin

 

 

 

en rebond avec françoise morvan / sur armand robin 

 

 

autour du sang

autour du ventre

mordue 

 

tu n'es peut-être pas bien loin de t'expliquer avec les étoiles

c'est bien tôt

 

et seras à jouer 

avec les hirondelles et les écureuils

à dormir avec les chats et les coccinelles

à te lier indissociablement 

à camomille cymbalaire et autres herbes folles pour les jours ville
 à compost et lombrics pour les jours jardinage
 à parfum de ciste thym cade et romarin pour les jours garrigue
 à parfum de cerisier prunus et amandier pour les jours fruits
 à parfum de rose héliotrope freesia et chèvrefeuille pour les jours jardins
 à parfum de troène tilleul et acacia pour les jours arbres
 à parfum de mousse humus et vetiver pour les jours forêts 

à parfum de mimosa in saecula saeculorum

 

être mêlée dans la partition du monde 

 

 

 

samedi 10 sep 2011

 

 

 

en rebond avec françoise morvan / sur armand robin 

 

 

autour du sang

autour du ventre

mordue 

 

tu n'es peut-être pas bien loin de t'expliquer avec les étoiles

c'est bien tôt

 

et seras à jouer 

avec les hirondelles et les écureuils

à dormir avec les chats et les coccinelles

à te lier indissociablement 

à camomille cymbalaire et autres herbes folles pour les jours ville
 à compost et lombrics pour les jours jardinage
 à parfum de ciste thym cade et romarin pour les jours garrigue
 à parfum de cerisier prunus et amandier pour les jours fruits
 à parfum de rose héliotrope freesia et chèvrefeuille pour les jours jardins
 à parfum de troène tilleul et acacia pour les jours arbres
 à parfum de mousse humus et vetiver pour les jours forêts 

à parfum de mimosa in saecula saeculorum

 

être mêlée dans la partition du monde 

 

 

 

samedi 10 sep 2011

samedi 10 sep 2011

j'écris côte à côte

j'écris côte à côte

 

 

- tu les aimes?

- de l'amour? ne sais dire, (beaucoup d'indétermination pour polir les concepts), de l'attachement dans la lumière de la lecture, oui; leur écriture visitée me fait halo d'atours

me fait d'être bien de penser bien de vivre de bien

me fait de la liaison

 

 

je lis côte à côte avec vous, même si sans les thoraciques 

 

imaginer que petites perceptions flottent jusqu'à moi et m'offrent buée de vos corporelles car il y a bien de vos corps dans vos textes et ce sont ces infra éléments qui viennent jusqu'à moi et construisent en moi ce que je senssais que vous êtes là-bas au-delà des ondes dans vos espaces singuliers

 

 

- de l'attachement, oui

 

 

 

vendredi 09 sep 2011

j'écris côte à côte

 

 

- tu les aimes?

- de l'amour? ne sais dire, (beaucoup d'indétermination pour polir les concepts), de l'attachement dans la lumière de la lecture, oui; leur écriture visitée me fait halo d'atours

me fait d'être bien de penser bien de vivre de bien

me fait de la liaison

 

 

je lis côte à côte avec vous, même si sans les thoraciques 

 

imaginer que petites perceptions flottent jusqu'à moi et m'offrent buée de vos corporelles car il y a bien de vos corps dans vos textes et ce sont ces infra éléments qui viennent jusqu'à moi et construisent en moi ce que je senssais que vous êtes là-bas au-delà des ondes dans vos espaces singuliers

 

 

- de l'attachement, oui

 

 

 

vendredi 09 sep 2011

vendredi 09 sep 2011

sa jambe



sa jambe ébartiflée

sa jambe soufflirée

sa jambe entouflée 

sa jambe moussardisée

sa jambe emparlutie

sa jambe varoubotilée

sa jambe gribarudée

sa jambe désablorisée

sa jambe caritofablutie 

sa jambe ériflubloomisée

sa jambe équaroublie

 

sa jambe quoi 

 

sa jambe

 

 

*

par temps clair on peut voir le cap de bonne espérance



 

jeudi 08 sep 2011



sa jambe ébartiflée

sa jambe soufflirée

sa jambe entouflée 

sa jambe moussardisée

sa jambe emparlutie

sa jambe varoubotilée

sa jambe gribarudée

sa jambe désablorisée

sa jambe caritofablutie 

sa jambe ériflubloomisée

sa jambe équaroublie

 

sa jambe quoi 

 

sa jambe

 

 

*

par temps clair on peut voir le cap de bonne espérance



 

jeudi 08 sep 2011

jeudi 08 sep 2011

d'ici là 8 / petit récit apéritif twitté 1 à 15

 

 

comme un apéritif twitté au texte que je prépare en participation à la revue d'ici là n°8, revue numérique de création litttéraire multimédia dirigée par pierre ménard chez publie.net, voici un petit récit par bribes

 

me suis donnée comme contrainte, depuis le 18 août, d'écrire chaque jour, sur twitter donc, une bribe de 140 signes dont @marysehache (nom choisi sur twitter précédé, selon l'usage, de l'arobase @) est sujet grammatical

 

voici les quinze premières

 

(ai oublié la contrainte deux fois!!)

(et ai fait une erreur dans le premier twitt, avec citation de baudelaire qui propose le thème,

ce n'est pas "le coeur des mortels" mais d'"UN mortel")

 

 

 

 

@marysehache

rôde autour des fissures dans trottoirs pour revue #d'ici là 8 : (la forme d'une ville / Change plus vite, hélas! que le coeur des mortels)


décide d'une contrainte journalière en twitt et l'oublie déjà hier au bord du trottoir urbain / #dicilà graine tombée dans interstice bitumé


regarde ruines de rome vieux murs humides et ombragés pense à ernest-pignon-ernest #dicilà éperons seront courts sur sols et ciment calcaire


de juin à septembre vagabonderai urbaine aromatique poilue et cheveux rabattus vers le bas / #d'icila songe aux laisses de mer et à camille


invente belles endormies sous les couches et guette fin de longue dormance; #dicila cherche leur forme et leur nom dans le coeur des mortels


s'étonne de leur force de leur endurance de leur beauté de simple; se réjouit que piétinées, elles continuent; #dicila en prend de la graine


poursuit petit récit apéritif twitté 140 #dicila revue de création multimedia par @liminaire chez @publienet parution n°8 prévue 21 déc 2011


au pied du mur et de l'été posera ses pas / quels invisibles à ses regards / #dicila botanise et urbanise son coeur dans lumière du webmonde


se demande si rampe ou pend, si longe vieux murs ombragés ou humides : #dicila opte pour marcher vif en robe violet pâle et rehauts de jaune


ose regard sur fissures et façades / de bitume à béton / quête traces de l'inframince d'une ville l'autre #dicila / tend hypothèses labiles


tête de linotte aussi a oublié hier de rôder cuicui sur le fil time 140 en vue apéritif #dicila décembre / today pérégrine en jardin et vase

 

la mousson en baie du bengale pillonne la forêt / tigre biche sangliers, pas moyen d'échapper / #dicila le limon nourrit les palétuviers


oubliera la contrainte, comme sous les pavés le sable, et fera pousser sujet mousson : grammaticale défaite hélas / #d'icila change de décor


se demande si posera sur le corps de la ville feuilles avec écriture à côté de folioles / #dicila me souviens des paperolles josée lapeyrère


voudrait dire en promenade un règne et l'autre et sentir l'écume verte côtoyer humains et béton #dicila rues à herbes et obstination à vivre

 

 

 

 

avais contribué, avec une cinquantaine d'auteurs  au n°7  thème : Le présent n’est que la crête du passé et l’avenir n’existe pas

et au n°6  thème : L’immobilité de celui qui écrit met le monde en mouvement.

 

 

et à propos de récit twitté, faites un tour chez lucien suel et son feuilleton Kurt Witter, d'abord d'abord, jour après jour, en twitt de 140 signes, sur twitter @LucienSuel

la première saison et achevée

 


 

 

dimanche 04 sep 2011

 

 

comme un apéritif twitté au texte que je prépare en participation à la revue d'ici là n°8, revue numérique de création litttéraire multimédia dirigée par pierre ménard chez publie.net, voici un petit récit par bribes

 

me suis donnée comme contrainte, depuis le 18 août, d'écrire chaque jour, sur twitter donc, une bribe de 140 signes dont @marysehache (nom choisi sur twitter précédé, selon l'usage, de l'arobase @) est sujet grammatical

 

voici les quinze premières

 

(ai oublié la contrainte deux fois!!)

(et ai fait une erreur dans le premier twitt, avec citation de baudelaire qui propose le thème,

ce n'est pas "le coeur des mortels" mais d'"UN mortel")

 

 

 

 

@marysehache

rôde autour des fissures dans trottoirs pour revue #d'ici là 8 : (la forme d'une ville / Change plus vite, hélas! que le coeur des mortels)


décide d'une contrainte journalière en twitt et l'oublie déjà hier au bord du trottoir urbain / #dicilà graine tombée dans interstice bitumé


regarde ruines de rome vieux murs humides et ombragés pense à ernest-pignon-ernest #dicilà éperons seront courts sur sols et ciment calcaire


de juin à septembre vagabonderai urbaine aromatique poilue et cheveux rabattus vers le bas / #d'icila songe aux laisses de mer et à camille


invente belles endormies sous les couches et guette fin de longue dormance; #dicila cherche leur forme et leur nom dans le coeur des mortels


s'étonne de leur force de leur endurance de leur beauté de simple; se réjouit que piétinées, elles continuent; #dicila en prend de la graine


poursuit petit récit apéritif twitté 140 #dicila revue de création multimedia par @liminaire chez @publienet parution n°8 prévue 21 déc 2011


au pied du mur et de l'été posera ses pas / quels invisibles à ses regards / #dicila botanise et urbanise son coeur dans lumière du webmonde


se demande si rampe ou pend, si longe vieux murs ombragés ou humides : #dicila opte pour marcher vif en robe violet pâle et rehauts de jaune


ose regard sur fissures et façades / de bitume à béton / quête traces de l'inframince d'une ville l'autre #dicila / tend hypothèses labiles


tête de linotte aussi a oublié hier de rôder cuicui sur le fil time 140 en vue apéritif #dicila décembre / today pérégrine en jardin et vase

 

la mousson en baie du bengale pillonne la forêt / tigre biche sangliers, pas moyen d'échapper / #dicila le limon nourrit les palétuviers


oubliera la contrainte, comme sous les pavés le sable, et fera pousser sujet mousson : grammaticale défaite hélas / #d'icila change de décor


se demande si posera sur le corps de la ville feuilles avec écriture à côté de folioles / #dicila me souviens des paperolles josée lapeyrère


voudrait dire en promenade un règne et l'autre et sentir l'écume verte côtoyer humains et béton #dicila rues à herbes et obstination à vivre

 

 

 

 

avais contribué, avec une cinquantaine d'auteurs  au n°7  thème : Le présent n’est que la crête du passé et l’avenir n’existe pas

et au n°6  thème : L’immobilité de celui qui écrit met le monde en mouvement.

 

 

et à propos de récit twitté, faites un tour chez lucien suel et son feuilleton Kurt Witter, d'abord d'abord, jour après jour, en twitt de 140 signes, sur twitter @LucienSuel

la première saison et achevée

 


 

 

dimanche 04 sep 2011

dimanche 04 sep 2011

michel brosseau / jardin, terre d'enfance #vasescommunicants

 

 

jardin, terre d’enfance, espace premier où s’inventer les jours, territoire qu’on s’approprie, empreinte que laissent ces cheminements en lieu clos, habité par la fiction du jeu, chef apache au milieu des poireaux, empreinte au-delà du souvenir, de celles qu’on porte ensuite, sans toujours savoir les lire, alors écrire pour ça aussi, de ce qui se jouait alors retrouver la force, estimer le poids, quand loin, et que n’existent même plus les allées du potager, devenu peau de chagrin au fil du temps parce que l’âge, que plus la force, et signe que la mort n’est plus si loin, qu’à chaque génération quand passés les derniers semis, on sait qu’il est temps d’effacer, plutôt que laisser envahir de saloperies et que devienne jungle, temps d’une pelouse où des arbres et des arbustes pour occuper l’espace, à peine quelques fruitiers, comme pour faire bonne figure, maquiller la déroute, l’adoucir quand de temps en temps encore y descendre au jardin, et se souvenir de la quasi autarcie, du poulailler au fond et des clapiers à lapins, de la soupape que c’était le soir après l’usine, de retrouver la terre, retrouver ce que savoir faire, et s’en nourrir, dernier sursaut d’une lignée paysanne qui se meurt, et remue encore un peu quand, dans ces dizaines de mètres carrés derrière un pavillon, à ton tour tenter malgré tout

 

P8310019

P8310020
michel brosseau

 

 

 

voici sous le nom : les vases communicants, un texte de michel brosseau, accueilli,au semenoir, en ce mois de septembre 2011,  tandis que mon texte : jardin chantier #4 paraît sur son blog à chat perché: http://www.xn--chatperch-p1a2i.net/spip/spip.php?article38&var_mode=calcul

nos deux textes participent à l'apparition d'un autre texte, qui s'écrit à plusieurs, en duos, l'un accueillant dans son blog l'autre écrivant qui lui-même accueille le texte du premier, comme chaque premier vendredi de chaque mois


françois bon Tiers Livre et jérôme denis Scriptopolis sont à l’initiative du projet de vases communicants 

beau programme qui a démarré le 3 juillet 2009 entre les deux sites, ainsi qu’entre Fenêtres / open space d’Anne Savelli et Liminaire


pour en savoir plus sur les participants de septembre cliquez chez brigetoun 

et pour lire les textes des autres participants allez chez scoopit les vases communicants où pierre ménard (liminaire) les réunit chaque mois

 

 

chez michel brosseau lisez aussi carnet d'itinérant vous le trouverez en indiquant l'expression dans le petit rectangle proposé pour recherche : il se promène, à vélo, pendant la vacance d'été, il raconte, il fait de photos

 

 

 

vendredi 02 sep 2011

 

 

jardin, terre d’enfance, espace premier où s’inventer les jours, territoire qu’on s’approprie, empreinte que laissent ces cheminements en lieu clos, habité par la fiction du jeu, chef apache au milieu des poireaux, empreinte au-delà du souvenir, de celles qu’on porte ensuite, sans toujours savoir les lire, alors écrire pour ça aussi, de ce qui se jouait alors retrouver la force, estimer le poids, quand loin, et que n’existent même plus les allées du potager, devenu peau de chagrin au fil du temps parce que l’âge, que plus la force, et signe que la mort n’est plus si loin, qu’à chaque génération quand passés les derniers semis, on sait qu’il est temps d’effacer, plutôt que laisser envahir de saloperies et que devienne jungle, temps d’une pelouse où des arbres et des arbustes pour occuper l’espace, à peine quelques fruitiers, comme pour faire bonne figure, maquiller la déroute, l’adoucir quand de temps en temps encore y descendre au jardin, et se souvenir de la quasi autarcie, du poulailler au fond et des clapiers à lapins, de la soupape que c’était le soir après l’usine, de retrouver la terre, retrouver ce que savoir faire, et s’en nourrir, dernier sursaut d’une lignée paysanne qui se meurt, et remue encore un peu quand, dans ces dizaines de mètres carrés derrière un pavillon, à ton tour tenter malgré tout

 

P8310019

P8310020
michel brosseau

 

 

 

voici sous le nom : les vases communicants, un texte de michel brosseau, accueilli,au semenoir, en ce mois de septembre 2011,  tandis que mon texte : jardin chantier #4 paraît sur son blog à chat perché: http://www.xn--chatperch-p1a2i.net/spip/spip.php?article38&var_mode=calcul

nos deux textes participent à l'apparition d'un autre texte, qui s'écrit à plusieurs, en duos, l'un accueillant dans son blog l'autre écrivant qui lui-même accueille le texte du premier, comme chaque premier vendredi de chaque mois


françois bon Tiers Livre et jérôme denis Scriptopolis sont à l’initiative du projet de vases communicants 

beau programme qui a démarré le 3 juillet 2009 entre les deux sites, ainsi qu’entre Fenêtres / open space d’Anne Savelli et Liminaire


pour en savoir plus sur les participants de septembre cliquez chez brigetoun 

et pour lire les textes des autres participants allez chez scoopit les vases communicants où pierre ménard (liminaire) les réunit chaque mois

 

 

chez michel brosseau lisez aussi carnet d'itinérant vous le trouverez en indiquant l'expression dans le petit rectangle proposé pour recherche : il se promène, à vélo, pendant la vacance d'été, il raconte, il fait de photos

 

 

 

vendredi 02 sep 2011

vendredi 02 sep 2011

la faudraie

 

la faudraie un il à la hanche

stolons everywhere

se faufile toujours

 

la faudraie un jus aux lèvres

pomme if ou pervenche 

inocule toujours

 

la faudraie en ville

la faudraie en campagne

la faudraie mer ciel et chambre

toujours

 

écureuil sur l'épaule

chat sur les genoux

mimosa aux joues

rien ne fait fuir la faudraie

 

pinson mésange ou troglodyte

tourterelles pic-épeiche ou moineau

jamais la faudraie ne se tait

 

dans lire écrire rêver

glisse la faudraie

affûte couteau

creuse entailles

toujours

 

mais

 à force de faudraie force et demie

 

bandez la demie qui fait différence

venez papillons et libellules de puissance

venez grandes bêtes d'assaut

venez guêpes et abeilles en aiguillons

venez belles urticantes

venez vertes ou rouges libellules

 

avec anges amis et belles rencontrées

venez troupeau de résistance

 

 

 

la faudraie no pasaran

 

 

 

IMG_2123

 

 

 

 

dimanche 28 août 2011

 

la faudraie un il à la hanche

stolons everywhere

se faufile toujours

 

la faudraie un jus aux lèvres

pomme if ou pervenche 

inocule toujours

 

la faudraie en ville

la faudraie en campagne

la faudraie mer ciel et chambre

toujours

 

écureuil sur l'épaule

chat sur les genoux

mimosa aux joues

rien ne fait fuir la faudraie

 

pinson mésange ou troglodyte

tourterelles pic-épeiche ou moineau

jamais la faudraie ne se tait

 

dans lire écrire rêver

glisse la faudraie

affûte couteau

creuse entailles

toujours

 

mais

 à force de faudraie force et demie

 

bandez la demie qui fait différence

venez papillons et libellules de puissance

venez grandes bêtes d'assaut

venez guêpes et abeilles en aiguillons

venez belles urticantes

venez vertes ou rouges libellules

 

avec anges amis et belles rencontrées

venez troupeau de résistance

 

 

 

la faudraie no pasaran

 

 

 

IMG_2123

 

 

 

 

dimanche 28 août 2011

dimanche 28 août 2011

un banc devant l'estuaire

 

DSCN1413

 

 

un banc devant l'estuaire

face mer ou presque : atlantique garonne et dordogne

en contrebas un mur

sur la gauche murs de la citadelle vauban

nuages lumière bleu gris ciel mer et vert arboré des îles

une douceur possible de l'ennui

 

un banc devant l'estuaire

face mer avec rivières et lumière en bleu gris

nuages étirés en bleu gris sur blanc ciel moussu

à portée de nages les îles et leur vert adouci

une tendresse probable du bleu

 

un banc devant l'estuaire

face mer métissée de fleuves

soleil avant crépuscule dans nuages gris violet

liseré lumière sur l'île aux arbres

un bateau sur le bleu presque nuit

une esquisse d'infini

 

un banc devant l'estuaire

face mer eaux mêlées d'océan

lumière matinale en bleu pâle et blanc de traine

îles en vert poudré entre eau et ciel à joues de nuages

une femme en contrebas avec robe blanc sur bleu

une fraîcheur sans adjectif et pourtant

 

DSCN1411

DSCN1412

DSCN1414

DSCN1423
photos maryse hache

 

 

texte écrit sur proposition de françois bon, à partir de face à la mer, un des passages les plus étonnants de l’oeuvre de Julien Gracq, lors de l'atelier d'écriture à ouessant dans le cadre de numér'île 5

possibilité d'y participer en ligne; viens de le déposer simultanément sur son site

 

 

 

samedi 27 août 2011

 

DSCN1413

 

 

un banc devant l'estuaire

face mer ou presque : atlantique garonne et dordogne

en contrebas un mur

sur la gauche murs de la citadelle vauban

nuages lumière bleu gris ciel mer et vert arboré des îles

une douceur possible de l'ennui

 

un banc devant l'estuaire

face mer avec rivières et lumière en bleu gris

nuages étirés en bleu gris sur blanc ciel moussu

à portée de nages les îles et leur vert adouci

une tendresse probable du bleu

 

un banc devant l'estuaire

face mer métissée de fleuves

soleil avant crépuscule dans nuages gris violet

liseré lumière sur l'île aux arbres

un bateau sur le bleu presque nuit

une esquisse d'infini

 

un banc devant l'estuaire

face mer eaux mêlées d'océan

lumière matinale en bleu pâle et blanc de traine

îles en vert poudré entre eau et ciel à joues de nuages

une femme en contrebas avec robe blanc sur bleu

une fraîcheur sans adjectif et pourtant

 

DSCN1411

DSCN1412

DSCN1414

DSCN1423
photos maryse hache

 

 

texte écrit sur proposition de françois bon, à partir de face à la mer, un des passages les plus étonnants de l’oeuvre de Julien Gracq, lors de l'atelier d'écriture à ouessant dans le cadre de numér'île 5

possibilité d'y participer en ligne; viens de le déposer simultanément sur son site

 

 

 

samedi 27 août 2011

samedi 27 août 2011

c'était la mer


3 août

 

c'était la mer à préfailles grand vent à décorner les haubans à mouver siffler les fils électriques une main de chaque pitchoune mouflette dans chaque main du père comme si les retenir car si légères elles allaient s'envoler

 

pas le phare de tévennec

 

c'était la mer à équihen petits chapeaux salopettes et pieds-nus sel sur lèvres à trembler en sortie de bain souffle d'écume peau violette et poulettes en chair

 

pas le phare de kergadec

 

c'était sur mer à boulogne une grand-mère à visite arrière rue sur le port aller au merlan pour couper du cresson faut suivre

 

pas le phare de dunkerque

 

c'était la mer à quiberon même violette couleur peau et frissons à petits points et cette odeur de marée de varech les marées recommencées et le beurre en motte

 

pas le phare de port-maria

 

c'était la mer à st brévin-les-pins la plage sable et mer à folie de courir sable sec sable mouillé se jeter joie dans le mouvement incessant du bleu dans le mouvement sonore du blanc clac la paume sur du coupant claque ça saigne claque courir chez le morticole

 

pas le phare de trézien / plouarzel

 

c'était la mer à locquirec là étalée sous les yeux verte ou grise selon frappe de lumière et frappe de vagues et d'embruns volaient jusqu'à terrasse d'où ils la regardaient

 

pas le phare de port-manech

 

c'était presque la mer à arcachon sable eau mais sans goémond sans odeur sans écume sans vagues avec barques de pêcheurs riant navigant à la fraîche

 

pas le phare de st gildas

 

c'était la mer à st raphaël pas de violette peau ni violettes algues mer étale autre bleu autre ciel  autre horizon continent face afrique

 

pas le phare d'agay

 

c'était la mer à larmor lanières brunes de varech sable et encore ce grand lit de bleu mouvant et sonore cette lisière qui monte avec le temps puis qui s'abaisse il y a de la lune là-dessous

 

pas le phare de houat et hoëdic

 

 

 

 

c'est bientôt la mer

 

suis-je encore loin de la mer

 

 

 

 

 

 

texte écrit sur proposition de françois bon, à partir d’Armen, de Jean-Pierre Abraham, lors à l'atelier d'écriture à ouessant dans le cadre de numér'île 5


possibilité d'y participer en ligne; viens de le déposer simultanément sur son site

 

 

samedi 27 août 2011


3 août

 

c'était la mer à préfailles grand vent à décorner les haubans à mouver siffler les fils électriques une main de chaque pitchoune mouflette dans chaque main du père comme si les retenir car si légères elles allaient s'envoler

 

pas le phare de tévennec

 

c'était la mer à équihen petits chapeaux salopettes et pieds-nus sel sur lèvres à trembler en sortie de bain souffle d'écume peau violette et poulettes en chair

 

pas le phare de kergadec

 

c'était sur mer à boulogne une grand-mère à visite arrière rue sur le port aller au merlan pour couper du cresson faut suivre

 

pas le phare de dunkerque

 

c'était la mer à quiberon même violette couleur peau et frissons à petits points et cette odeur de marée de varech les marées recommencées et le beurre en motte

 

pas le phare de port-maria

 

c'était la mer à st brévin-les-pins la plage sable et mer à folie de courir sable sec sable mouillé se jeter joie dans le mouvement incessant du bleu dans le mouvement sonore du blanc clac la paume sur du coupant claque ça saigne claque courir chez le morticole

 

pas le phare de trézien / plouarzel

 

c'était la mer à locquirec là étalée sous les yeux verte ou grise selon frappe de lumière et frappe de vagues et d'embruns volaient jusqu'à terrasse d'où ils la regardaient

 

pas le phare de port-manech

 

c'était presque la mer à arcachon sable eau mais sans goémond sans odeur sans écume sans vagues avec barques de pêcheurs riant navigant à la fraîche

 

pas le phare de st gildas

 

c'était la mer à st raphaël pas de violette peau ni violettes algues mer étale autre bleu autre ciel  autre horizon continent face afrique

 

pas le phare d'agay

 

c'était la mer à larmor lanières brunes de varech sable et encore ce grand lit de bleu mouvant et sonore cette lisière qui monte avec le temps puis qui s'abaisse il y a de la lune là-dessous

 

pas le phare de houat et hoëdic

 

 

 

 

c'est bientôt la mer

 

suis-je encore loin de la mer

 

 

 

 

 

 

texte écrit sur proposition de françois bon, à partir d’Armen, de Jean-Pierre Abraham, lors à l'atelier d'écriture à ouessant dans le cadre de numér'île 5


possibilité d'y participer en ligne; viens de le déposer simultanément sur son site

 

 

samedi 27 août 2011

samedi 27 août 2011

écrire comme graine




écrire comme graine en chemin par viscères et entrailles 

fleurs de murailles ou fleurs de sable

écrire à aiguillons rose de provins ou rose bourbon

écrire à rien que flaque miettes et bribes


écrire en mille de nuit temps doux temps frais 

parfums de tilleul ou chèvrefeuille

écrire à jour traversée d'avions de chats ou d'écureuils

écrire à rien que fissures et failles


écrire à étincelles en brume et brindilles

chants de pêcheurs et chants de brasiers

écrire face débâcle ou désastre

écrire à rien que souffle et glace


écrire au fond des yeux au fond des paumes

morsure du bleu ou de l'oiseau

écrire à coeur et à creux   

écrire à rien que corps et corps 



aux lumineux écrans

écrire


avec vous

 

 

 

 

 

en balade dans le web monde retrouve un atelier d'écriture des nocturnes de la bu d'angers 19⎮écrire, signer la vie  proposé par françois bon en avril 2011, et en accompagnement un extrait de jacques dupin

y avais participé en son temps puis publié le texte au semenoir

 

ai eu envie à nouveau envie d'écrire selon cette proposition 

 

autres textes miens proposés en ligne à cet atelier et repris au semenoir


 

 

 

vendredi 26 août 2011




écrire comme graine en chemin par viscères et entrailles 

fleurs de murailles ou fleurs de sable

écrire à aiguillons rose de provins ou rose bourbon

écrire à rien que flaque miettes et bribes


écrire en mille de nuit temps doux temps frais 

parfums de tilleul ou chèvrefeuille

écrire à jour traversée d'avions de chats ou d'écureuils

écrire à rien que fissures et failles


écrire à étincelles en brume et brindilles

chants de pêcheurs et chants de brasiers

écrire face débâcle ou désastre

écrire à rien que souffle et glace


écrire au fond des yeux au fond des paumes

morsure du bleu ou de l'oiseau

écrire à coeur et à creux   

écrire à rien que corps et corps 



aux lumineux écrans

écrire


avec vous

 

 

 

 

 

en balade dans le web monde retrouve un atelier d'écriture des nocturnes de la bu d'angers 19⎮écrire, signer la vie  proposé par françois bon en avril 2011, et en accompagnement un extrait de jacques dupin

y avais participé en son temps puis publié le texte au semenoir

 

ai eu envie à nouveau envie d'écrire selon cette proposition 

 

autres textes miens proposés en ligne à cet atelier et repris au semenoir


 

 

 

vendredi 26 août 2011

vendredi 26 août 2011

abyssal cabaret, fragments poétiques, sur scène le 23 août 2011, 23 h blaye, près de bordeaux

 

 

AbyssalrectoV1_semenoir

 

 

abyssal cabaret, fragments poétiques


texte mien écrit pour la comédienne et metteur en scène caroline lemignard

 

elle le mâche demain sur scène pour la première fois dans son intégralité

à la chapelle des minimes à blaye, mardi 23 août 2011, à 23h, près de bordeaux, dans le cadre du 22° festival de théâtre de blaye et de l'estuaire

elle est en duo sur le plateau avec l'éclairagiste elisa bernos

elle porte les costumes dites "enveloppes" de katia leroi-godet, et un masque de florence felgines

 

mise en scène interprétation et lumières sont livrées à l'improvisation quoique travaillées en répétition, ceux qui aiment les dites interprétation lumières et mise en scène tirées au cordeau avec marques au sol seront sans un peu bousculés et les curieux reviendront voir le spectacle et se réjouir des différences

il se jouera à nouveau sept jours de février 2012 dans un théâtre bordelais  : la boîte à jouer

 

 

serai bien heureuse de vous y voir

si si et si ....

 

 

 

 


 

← Précédent Page 32 / 62 Suivant →