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n°7, rue H. de Balzac

Cette catégorie contient 18 billets

tu aimais ces bleus

saisir tout ce qui là s’offre - se lie et superpose (Lire la suite…)

difficile de lui échapper

Difficile de lui échapper quand tout ici, papier peint parquet flottant... Il avait tout fait dans la maison. L’avoir aidé un peu. Gratter les strates des tapisseries. Deux ou trois couches selon les pièces, atteindre au placoplâtre. Parfois un dessin, un schéma, mesures, repères, quelques mots, un prénom... Chacun des endroits qu’ils avaient habités... Ne rien (...) (Lire la suite…)

15 mai 1988

15 mai - ce qu’elle avait été cette journée-là - mis à part que promenade autour du lac de F. ton appareil en bandoulière - un dimanche comme un autre (Lire la suite…)

ne toucher à rien

Si ça lui convenait à elle... De l’avoir encore un peu là avec elle... Avait ça dans le sang de croire qu’on peut vivre avec les morts. Hérité ça du grand-père !... (Lire la suite…)

rien n’a changé dans le bureau

Rien n’a changé dans le bureau. Juste ajouté son portrait dans un cadre, auprès du disque dur externe, boîtier noir fabriqué en Chine. (Lire la suite…)

si on lui avait dit un jour

Si on lui avait dit un jour... Que la nuit comme ça à cavaler dans la maison. Passer des heures devant l’ordi. Jamais été du soir. Même plus jeune. Couchée avec les poules faut pas exagérer. Mais jamais été son truc de sortir comme ils disent. D’abord pas les sous pour. Et puis pas tant qu’aujourd’hui non plus, les boîtes et compagnie. Belle la chanson de Brel. (...) (Lire la suite…)

longtemps ç’avait été si simple de dormir

La tête prise. La tête prise et c’est d’absence. (Lire la suite…)

l’insomnie d’Elisabeth Truchard

Peut-être aussi ce besoin de respecter la symétrie, qu’encore un peu d’ordonnancement du monde. (Lire la suite…)