Tranquillité naturelle
mercredi 4 novembre 2020, par
Tourner la première page d’un livre. Assis au bord d’une piscine à débordement avec une vue imprenable sur les montagnes. Le bruit de la nature et uniquement ce bruit. Les animaux s’expriment en harmonie avec cette nature. Le vert et le marron sont les couleurs dominantes de ce paysage montagneux. Les arbres paraissent petits sur ces immenses montagnes. Les oiseaux chantent et prennent leur envol. La nature est éveillée.
Des arbres et des champs à perte de vue. Se sentir bien au milieu de rien. Le temps suspend son cours le temps d’une lecture. Tous les bruits aux alentours semblent estompés. Se retrouver seul face à l’immensité du lieu.
Cette tranquillité absolue donne l’opportunité à l’esprit de s’imprégner de l’histoire d’un roman. Profiter de l’instant présent et d’une lecture, tout simplement.
L’endroit offre une rare sérénité. Le pavé chaud est réconfortant. Tout est mis en œuvre pour le plaisir du lecteur. Sérénité, tranquillité, quiétude.
Se laisser envelopper par cette fine couche brûlante que le soleil dépose sur la peau. Profiter.
Soudain, le calme de l’onde est dérangé par quelques oiseaux venus se rafraîchir et profiter eux aussi de la tranquillité de l’endroit.
Les routes sont rares près de cet endroit. La ville se trouve pourtant à quelques kilomètres de là.
Les routes de la ville grouillent de gens, de voitures, de cris, de crissements. La ville et ses habitants vivent tout simplement.
Cette vie semble s’arrêter aux portes de ce centre de yoga. Tout est calme, pas d’habitants, pas de voiture. Personne.
Un cadre spécial, une tranquillité continue, on ne pourrait pas rêver mieux. Tourner une page, la contempler et la comprendre sans être dérangé. Pas un bruit de pas, pas de cris, pas de bruit issu de la ville. Rien de tout cela. Le bruit des oiseaux, de l’eau, du vent, de la nature.
Le temps reprend doucement son cours. Le livre touche à sa fin. Le soleil se perd à l’horizon. La nature s’apaise. Il est temps de conduire sur quelques kilomètres. Pénétrer de nouveau dans la ville qui ne trouve jamais le sommeil.