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Jeune orpheline au cimetière
Eugène DELACROIX
Charenton-Saint-Maurice, 1798 - Paris, 1863
Jeune orpheline au cimetière
Vers 1824
H. : 0,65 m. ; L. : 0,55 m.
Delacroix a utilisé, en la modifiant, cette étude pathétique et sentimentale pour une figure de jeune homme dans la grande toile des Scènes des Massacres de Scio, exposée au Salon de 1824 (Louvre, salle Mollien).
Donation Etienne Moreau-Nélaton
Département des Peintures
Source © Musée du Louvre.
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Fond bleu piscine
18 janvier 2014, par Ariane Bach
Fond bleu piscine, carré blanc en écho au cadre doré
Identité limite : c’est une simple orpheline.
Suspendue à ses cimaises, surcadrée par la barrière,
Mal entourée de souffrants, naufragés, mourants.
Mais son regard de fugitive, même pas détourné.
C’est autre chose. Elle est plus que là. Elle voudrait être ailleurs.
Des croix dans le sol, mal faites, mal peintes,
Cyprès floutés à l’eau qui se diluent dans le ciel.
Un paysage qui se décompose à grands traits mous
Dans un blanc sale, désespérant.
Les yeux (...)
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Jeune orpheline au cimetière
31 janvier 2014, par Evelyne Berson
Son regard tourné vers la droite dramatique Inquiet regard levé vers le ciel (courtes plages de ciel, joues rosées, carnation délicate) Couleur mouvante Le corsage flash l’épaule gauche de guider mon regard vers la droite Et la bouche confirme tétanise
Enigme contraste avec la main sur la robe oiseau dormeur Deux croix et un porche peupliers Toscane Campagne (...)
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Versions de travail autour de la "Jeune orpheline au cimetière"
31 janvier 2014, par Evelyne Berson
Pierre Ménard nous donne cette consigne : Observer un tableau et dire notre rapport à lui, le sens qu’on lui donne, nos impressions, sans hésiter à développer. Ensuite, vous élaguerez, laisserez des blancs, gommerez la ponctuation pour aller à l’essentiel poétique.
Jeune orpheline au cimetière, 1824, Delacroix, Sully, 2ème étage
Texte initial :
D’abord, c’est son regard tourné vers la droite, une sorte d’urgence dramatique qui attire. L’œil est inquiet, le regard levé vers le ciel, et l’on sent tout le (...)
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Jeux de mains
30 avril 2014, par Pierre Ménard
Mains qui effleurent, qui caressent, mains qui touchent de tous leurs doigts, qui pianotent, impatientes, mains qui espèrent, mains qui frôlent, qui froissent le tissu, mains qui s’abandonnent, qui regrettent, qui esquivent, esquissent, mains qui s’amusent, s’enjolivent, mains qui titillent, qui frottent, piquent, agrippent, envoient au loin ou rapprochent c’est selon, mains qui montrent le chemin à suivre, mains qui se serrent, qui s’évitent, mains qui se posent et se transforment parfois en (...)