Parc Vivant
mardi 1er décembre 2020, par
C’est un lieu verdoyant ou j’aime me prélasser au soleil
Et écrire longuement sous l’arbre vieux de cent ans
Grâce au point d’eau frais
L’air est toujours léger, même en plein soleil de midi.
Et beaucoup de parents y emmènent leurs jeunes enfants.
J’aime, avec du papier blanc, décrire avec amour
Les longues allées labyrinthique-ments gravillonnées bordées de fleurs aux douces senteurs.
Et les couleurs des pavées, que les enfants aiment colorer avec des craies qui s’effritent entre leurs doigts potelés.
Et la nature, vivante, foisonnante, bat comme un seul et même cœur, harmonie que chantent les oiseaux aux plumes éclatantes. Je respire cet air qui me ressource, comme une reconnexion avec l’essentiel, loin du béton armé et froid habituel.
C’est un coin de paradis, perdu dans l’océan embourbant du béton armé, l’enfer des villes.