sabotage des câbles parisiens
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C’est le témoignage de M. Simon, recueilli par Henri Michel qui nous le dit. Keller et Simon se seraient mis d’accord sur quelques coupures ciblées, avec une méthode précisée ici :
Devançant l’appel en 17, il devance les ordres depuis, avant de donner ceux, à ses techniciens, de réparer, jusqu’à ce qu’eux-mêmes devancent les désirs, les besoins. Robert Keller a réagi instinctivement en coupant immédiatement les câbles qu’il sait pouvoir couper. Les Allemands à Paris n’ont pas pu téléphoner pas le 14 juin 1940. Il a pris cette décision, avec son collège Simon, et ils n’ont mêlé à ça personne d’autre.