René Sueur

Si Sueur et Combaux se connaissaient par les télécoms et les opinions, le fait ce dernier habitait à cinq minutes à pied du Centre Téléphonique et Télégraphique Saxe-Ségur a forcément aidé dans leur rapprochement, et dans leurs discussions.

Au point où j’en suis dans l’écriture au 29.3.2023 j’ai simplement repris l’idée du documentaire de Laurent Bergers et Marie Gatard que Combaux a l’idée et demande à Sueur qui lui conseille de faire intervenir Keller. Mais il est tout à fait plausible que Combaux et Sueur aient discuté, au cours d’un dîner, l’un chez l’autre, et que l’idée ait germé. Claude Rizzo dit que Sueur présente Keller à Combaux dans son bureau rue du Général Bertrand. Dans le documentaire de Bergers et Gatard, c’est l’inverse, on est dans le bureau de Combaux...

Si j’ai conservé le principe de ces rencontres, de leurs intervenants, je n’ai pas forcément conservé les mêmes lieux pour chaque rendez-vous.

Comment couper un câble en parfait état, lui brancher une dérivation, pour l’amener où ? Et cela au nez et à la barbe des nazis ? « Oui ». Combaux paraît heureux. Il demande à Sueur s’il pense quelqu’un capable de mener une telle opération. C’est au tour de l’ingénieur de répondre, à son propre étonnement, « Oui ».