Bribes 4.7
Lentement
s’est courbé, simplifié, désossé moelle intacte. Rien qui saigne, qui masque ou qui trace chemin.
Avec ce qui s’efforce, ce qui meut , qui respire et qui tranche, l’heure enfin venue, de mon corps à verse, la peau seule reste à écrire, indéfiniment.
Je sais depuis le début
pourquoi je meurs
simple morceau d’étoile.
dimanche 6 janvier 2013