Tokaïdo Hodogaya (4e relais)
sur le pont de Shinmachi
quoi
s’éveille
un oiseau
son onde
au cœur [,,*20,,son vol,
que chante
la flûte du
Komusõ [,,*20,, sinon,
sourire pale
masqué
quoi pleure
entre deux sabres
tendus
genou plié
en terre
ventre ouvert du
vent
quoi se lève parmi
les bambous fidèles [,,*20,, sinon,
la chair immense
infinie
voyageuse
éternelle
du
rien
mercredi 25 septembre 2013