☰ (Francis Royo)

Tokaïdo     Hodogaya (4e relais)

sur le pont de Shinmachi
quoi
s’éveille

un oiseau
son onde
au cœur [,,*20,,son vol,

que chante
la flûte du
Komusõ [,,*20,, sinon,

sourire pale
masqué

quoi pleure
entre deux sabres
tendus

genou plié
en terre
ventre ouvert du
vent

quoi se lève parmi
les bambous fidèles [,,*20,, sinon,

la chair immense
infinie

voyageuse
éternelle
du

rien

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