Le Sel de la vie

D'après Françoise Héritier.



... L'odeur de la pluie, sa vue comme son léger martellement sur les toits - et y retrouver des oiseaux, voir le monde à la lueur d'une bougie, ou bien le sourire de quelqu'un que l'on ne connait pas, penser à ce qui n'est pas encore, à ce qui sera.
Et ces couchers de soleil mémorables où le ciel s'embrase, la chaleur d'une main dans la sienne, regarder danser les flammes, ou encore la liberté d'une journée d'été à peine amorcée, la lecture d'un bon livre, le gris de l'automne, le rouille de ses feuilles, puis ces jours où on trouve le temps de rire et même simplement découvrir un visage ami dans une foule, parler jusqu'à tard autour d'une table, aller jusqu'à s'abandonner à la paresse un instant, écouter de la musique (et danser dessus, parfois).
Prendre la peine de regarder, pour de vrai, et voir la lune ou les étoiles qui filent, jouer aux cartes dans l'obscurité, se souvenir d'autres moments, en créer de nouveaux, enfin, passer du temps avec les bonnes personnes, à faire ce qui compte ; Visionner pour la dixième fois un film - ou une série - que l'on adore, marcher en forêt, rêver, respirer.




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L'odeur de la pluie, voir le monde à la lueur d'une bougie, ou bien le sourire de quelqu'un que l'on ne connait pas, et ces couchers de soleil mémorables où le ciel s'embrase, la chaleur d'une main dans la sienne, la liberté d'une journée d'été à peine amorcée, la lecture d'un bon livre, ces jours où on trouve le temps de rire, retrouver un visage ami dans une foule, parler jusqu'à tard autour d'une table, regarder un feu, s'abandonner à la paresse un instant, écouter de la musique (et danser dessus, parfois), prendre la peine de regarder, pour de vrai, et voir la lune ou les étoiles qui filent, jouer aux cartes dans l'obscurité, se souvenir d'autres moments, en créer à nouveaux, passer du temps avec les bonnes personnes, visionner pour la dixième fois un film - ou une série - que l'on adore

... l'odeur de la pluie, sa vue comme son léger martellement sur les toits - et y retrouver des oiseaux, voir le monde à la lueur d'une bougie, ou bien le sourire de quelqu'un que l'on ne connait pas, penser à ce qui n'est pas encore, à ce qui sera. Et ces couchers de soleil mémorables où le ciel s'embrase, la chaleur d'une main dans la sienne, regarder danser les flammes, ou encore la liberté d'une journée d'été à peine amorcée, la lecture d'un bon livre, le gris de l'automne, le rouille de ses feuilles, puis ces jours où on trouve le temps de rire et même simplement découvrir un visage ami dans une foule, parler jusqu'à tard autour d'une table, aller jusqu'à s'abandonner à la paresse un instant, écouter de la musique (et danser dessus, parfois). Prendre la peine de regarder, pour de vrai, et voir la lune ou les étoiles qui filent, jouer aux cartes dans l'obscurité, se souvenir d'autres moments, en créer de nouveaux, enfin, passer du temps avec les bonnes personnes, à faire ce qui compte ; Visionner pour la dixième fois un film - ou une série - que l'on adore, marcher en forêt, rêver, respirer.