Le ciel était d'un bleu azur avant que la pluie ne s'abatte et que les nuages condamnent notre vue à une vision apocalyptique.
Lors d'une visite dans les bois, il est possible de croiser des mûres sauvages, si c'est le cas, ne paniquez pas, elles ne mordent que si elles se sentent en danger.
La vie, la mort, la vanité de l'existence et la fausseté de notre essence ne sont réellement visible que sur notre crâne dénudé de sa chair sur notre lit de mort, après que les vers aient décomposé notre faciès.
La censure n'existe pas tant que l'imagination persiste.
L'inspiration ne vient plus, elle s'est évadée, exilée aux Caraïbes et ne reviendra probablement plus jamais, elle doit boire quelques cocktails alcoolisés avec son amie, la motivation qui nous a quitté il y a bien longtemps. Heureusement que ma fureur de vivre est encore... elle est aussi partie.