"J'ai pris mon envol il y a quelques heures, j'ai eu du mal à prendre mon envol. J'étais englué par la ville, par le va et viens, par les klaxons dans la rue, par les rires stupides de ces filles qui rient trop forts pour se faire remarquer !
J'étais concentré trop longtemps dans mon travail, le nez sur ces feuilles blanches, sur ces écrans. Il a fallut que je m'arrache à moi-même. Je me suis moi-même tiré les cheveux, afin que, me sentant tiré en arrière, je puisse enfin lever le visage et voir autre chose ! Enfin !
& là coup droit, coup gauche, slash, flash.
Un éclair et une paix intérieure. Inondation de vacances.
Partir, fini les pressions, fini les préoccupations, fini le travail, fini l'éloignement Oui fini ... Enfin preSque...
A la place, un voyage en avion, un jeu, un coup de dé au hasard je ne savais où j'aterrirais mais je m'en remettais uniquement au destin, il allait nécessairement faire mieux que quand c'est moi qui prend le contrôle !
Il m'a mené deci delà, au gré des aventures, j'ai même traversé une forêt en feu.
Je ris bêtement en me souvenant de cette scène si tu savais... Moi devant cette immense forêt en feu, la fôret qui brule et chaque arbre
cri son crac crépitant.
Rien n'arrête ce mangeur de bois. & moi j'attends que quelqu'un vienne, oui j'avais décidé de laisser les initiatives de côté. Je souris de cette décision, je suis content.
& j'ai ammeri ici, et je t'écris à toi pour te raconter,
que tu entendes la mer comme je l'entends, elle qui crée une douce berceuse à mes pensées, elles ont le même flux et reflux. Elles effectuent un va et viens incessants et installent en mon esprit des graines, ça germèra sans doute plus tard.
Voilà pourquoi je t'écris,
je prends cette photo, je te raconte comment j'en suis arrivé là, je te fais partager
ce bruit de la mer pour que tu comprennes que pour toi aussi,
il est temps que tu décroches,
il est temps que tu arrêtes de vouloir tout contrôler et maîtriser comme jusqu'à présent.
Mais viens plutôt
Recevoir cette écume qui allège,
Viens regarder cet horizon infini qui répond à ton coeur,
Viens sentir l'air marin qui ragaillardira et redonnera du gout à ta pensée, à ta vie !
Oh oui, viens me rejoindre, je t'attends là..."
Cherchez les différences, peut-être que vous pourrez gagner un autre voyage à la chance du dé !
& sinon, bienvenue à Merseille, la température est agréablement de 25 degrés celsius.
Ce lieu évoque l'été les petites calanques, dans lesquelles à une certaine époque de l'année, on habite plus que chez soi, qui connaissent nos plus grands secrets, nos amours, nos jeux d'enfance, qui a piqué nos idées de pique nique et a même à ce qu'on dit édité un carnet de recette pour les piques nique et les met à disposition des nouveaux arrivants. Petit guide pour l'utilisation merveilleuse des calanques
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