Voyage au bout de la nuit. Céline.
Ça a débuté comme ça. Moi, j'avais jamais rien dit. Rien. C'est Arthur Ganate qui m'a fait parler.
La vie mode d'emploi. Georges Perec.
Oui, cela pourrait commencer ainsi, ici, comme ça, d'une manière un peu lourde et lente, dans cet endroit neutre qui est à tous et à personne, où les gens se croisent presque sans se voir, où la vie de l'immeuble se répercute lointaine et régulière.
Vivre. Pierre Guyotat.
Ceci n'est pas écrit, mais dicté, improvisé, carnets en main.
Pourquoi avoir cliqué sur ce mot barré alors que vous étiez déjà au bon endroit ?
Voyage au bout de la nuit. Céline.
Ça a débuté comme ça. Moi, j'avais jamais rien dit. Rien. C'est Arthur Ganate qui m'a fait parler.
La vie mode d'emploi. Georges Perec.
Oui, cela pourrait commencer ainsi, ici, comme ça, d'une manière un peu lourde et lente, dans cet endroit neutre qui est à tous et à personne, où les gens se croisent presque sans se voir, où la vie de l'immeuble se répercute lointaine et régulière.
Vivre. Pierre Guyotat.
Ceci n'est pas écrit, mais dicté, improvisé, carnets en main.
Bob Dylan, une biographie. François Bon.
C'est soi-même que l'on cherche.
À l'époque, nous n'avions pas même l'idée de ce qu'il aurait fallu comprendre, archiver. Tout allait trop vite, et nous étions trop jeunes. Sans doute en va-t-il ainsi pour toutes les générations, sur ce bord qu'on affronte qu'une fois. Mais cette bascule-là, nous y sommes encore.
Faux Nègres. Thierry Beinstingel.
Faux espoirs, rien ne subsiste de nous : ni traces, ni repos. Ni l'attente, ni le temps, ni la manière : rien. Du vide : tout s'est évanoui dans la pesée des jours, les aubes laiteuses et les couchers flamboyants.
Voyage au bout de la nuit. Céline.
Ça a débuté comme ça. Moi, j'avais jamais rien dit. Rien. C'est Arthur Ganate qui m'a fait parler.
La vie mode d'emploi. Georges Perec.
Oui, cela pourrait commencer ainsi, ici, comme ça, d'une manière un peu lourde et lente, dans cet endroit neutre qui est à tous et à personne, où les gens se croisent presque sans se voir, où la vie de l'immeuble se répercute lointaine et régulière.
Vivre. Pierre Guyotat.
Ceci n'est pas écrit, mais dicté, improvisé, carnets en main.
Bob Dylan, une biographie. François Bon.
C'est soi-même que l'on cherche.
À l'époque, nous n'avions pas même l'idée de ce qu'il aurait fallu comprendre, archiver. Tout allait trop vite, et nous étions trop jeunes. Sans doute en va-t-il ainsi pour toutes les générations, sur ce bord qu'on affronte qu'une fois. Mais cette bascule-là, nous y sommes encore.
Faux Nègres. Thierry Beinstingel.
Faux espoirs, rien ne subsiste de nous : ni traces, ni repos. Ni l'attente, ni le temps, ni la manière : rien. Du vide : tout s'est évanoui dans la pesée des jours, les aubes laiteuses et les couchers flamboyants.
Voyage au bout de la nuit. Céline.
Ça a débuté comme ça. Moi, j'avais jamais rien dit. Rien. C'est Arthur Ganate qui m'a fait parler.
La vie mode d'emploi. Georges Perec.
Oui, cela pourrait commencer ainsi, ici, comme ça, d'une manière un peu lourde et lente, dans cet endroit neutre qui est à tous et à personne, où les gens se croisent presque sans se voir, où la vie de l'immeuble se répercute lointaine et régulière.
Vivre. Pierre Guyotat.
Ceci n'est pas écrit, mais dicté, improvisé, carnets en main.
Bob Dylan, une biographie. François Bon.
C'est soi-même que l'on cherche.
À l'époque, nous n'avions pas même l'idée de ce qu'il aurait fallu comprendre, archiver. Tout allait trop vite, et nous étions trop jeunes. Sans doute en va-t-il ainsi pour toutes les générations, sur ce bord qu'on affronte qu'une fois. Mais cette bascule-là, nous y sommes encore.
Faux Nègres. Thierry Beinstingel.
Faux espoirs, rien ne subsiste de nous : ni traces, ni repos. Ni l'attente, ni le temps, ni la manière : rien. Du vide : tout s'est évanoui dans la pesée des jours, les aubes laiteuses et les couchers flamboyants.
Voyage au bout de la nuit. Céline.
Ça a débuté comme ça. Moi, j'avais jamais rien dit. Rien. C'est Arthur Ganate qui m'a fait parler.
La vie mode d'emploi. Georges Perec.
Oui, cela pourrait commencer ainsi, ici, comme ça, d'une manière un peu lourde et lente, dans cet endroit neutre qui est à tous et à personne, où les gens se croisent presque sans se voir, où la vie de l'immeuble se répercute lointaine et régulière.
Vivre. Pierre Guyotat.
Ceci n'est pas écrit, mais dicté, improvisé, carnets en main.
Bob Dylan, une biographie. François Bon.
C'est soi-même que l'on cherche.
À l'époque, nous n'avions pas même l'idée de ce qu'il aurait fallu comprendre, archiver. Tout allait trop vite, et nous étions trop jeunes. Sans doute en va-t-il ainsi pour toutes les générations, sur ce bord qu'on affronte qu'une fois. Mais cette bascule-là, nous y sommes encore.
Faux Nègres. Thierry Beinstingel.
Faux espoirs, rien ne subsiste de nous : ni traces, ni repos. Ni l'attente, ni le temps, ni la manière : rien. Du vide : tout s'est évanoui dans la pesée des jours, les aubes laiteuses et les couchers flamboyants.
Voyage au bout de la nuit. Céline.
Ça a débuté comme ça. Moi, j'avais jamais rien dit. Rien. C'est Arthur Ganate qui m'a fait parler.
La vie mode d'emploi. Georges Perec.
Oui, cela pourrait commencer ainsi, ici, comme ça, d'une manière un peu lourde et lente, dans cet endroit neutre qui est à tous et à personne, où les gens se croisent presque sans se voir, où la vie de l'immeuble se répercute lointaine et régulière.
Vivre. Pierre Guyotat.
Ceci n'est pas écrit, mais dicté, improvisé, carnets en main.
Bob Dylan, une biographie. François Bon.
C'est soi-même que l'on cherche.
À l'époque, nous n'avions pas même l'idée de ce qu'il aurait fallu comprendre, archiver. Tout allait trop vite, et nous étions trop jeunes. Sans doute en va-t-il ainsi pour toutes les générations, sur ce bord qu'on affronte qu'une fois. Mais cette bascule-là, nous y sommes encore.
Faux Nègres. Thierry Beinstingel.
Faux espoirs, rien ne subsiste de nous : ni traces, ni repos. Ni l'attente, ni le temps, ni la manière : rien. Du vide : tout s'est évanoui dans la pesée des jours, les aubes laiteuses et les couchers flamboyants.